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La fragilité de la Guadeloupe face au réchauffement climatique

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La Guadeloupe n’est pas une île comme les autres. Dotée de forêts tropicales luxuriantes, de pics volcaniques, de plages de sable blanc et même d’un lac au milieu d’un volcan, il n’est pas étonnant que l’UNESCO l’ait désignée comme l’une des îles les plus riches en biodiversité au monde. Malgré sa beauté naturelle, la Guadeloupe est confrontée à de graves problèmes environnementaux. La déforestation, les pénuries d’eau et les risques naturels menacent les ressources naturelles de l’île. La préservation d’un écosystème aussi fragile pour les générations futures suscite également de sérieuses inquiétudes. Cette liste vous présentera quelques-uns des principaux problèmes qui affectent l’environnement de la Guadeloupe aujourd’hui.

 

Guadeloupe : Une déforestation nocive à l’écosystème

Guadeloupe - DéforestationLa déforestation en Guadeloupe est un problème majeur qui affecte la beauté naturelle de l’île. Avec un taux de déforestation annuel de 12 %, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi. L’une des principales causes de cette perte d’espace vert est l’expansion agricole, car la population augmente et l’agriculture devient plus intensive. Près de 80 % des terres de la Guadeloupe sont couvertes de forêts, ce qui signifie que de nombreuses zones sont encore vierges. Pour lutter contre la déforestation et préserver ces forêts vierges, il est important de se concentrer sur le développement durable et de protéger les ressources naturelles qui rendent cette île si unique. Cette déforestation, considérée comme la plus importante de tout l’Outre-mer, menace directement plus de 250 espèces de la flore de l’île. Certaines espèces ont d’ores et déjà disparu, ce qui est dramatique.

 

Guadeloupe : Pénurie d’eau en grande partie due à une mauvaise gestion des opérateurs et collectivités

Sécheresse GuadeloupeFace à la sécheresse de ces dernières années, et un gaspillage d’eau estimé entre 65% et 85% de la production d’eau, la population de la Guadeloupe fait face, dans certains quartiers, à une totale pénurie d’eau potable, ce qui n’est pas acceptable.  Le préfet a dû réquisitionner les opérateurs afin de rétablir un service d’eau minimum. La Guadeloupe dépend fortement de l’eau de pluie pour son approvisionnement en eau, mais les conditions de sécheresse combinées à l’introduction d’espèces envahissantes ont provoqué l’assèchement ou la diminution des lacs et des rivières, menaçant ainsi l’avenir des précieuses réserves d’eau douce de la Guadeloupe. Une autre raison de taille qui explique grandement cette situation concerne les installations et le réseau de distribution d’eau, dont la vétusté serait à l’origine de plus de 65% de gaspillage de la production d’eau de l’île. Les fuites sur le réseau ont été montré du doigt par Emmanuel Macron lors d’un précédent voyage sur l’île en septembre 2018, où interpelé sur le sujet, il a évoqué une mauvaise gestion du réseau d’eau potable par les opérateurs en place et les collectivités. En total contradiction, la population fait face à cette pénurie d’eau alors que l’île rencontre des épisodes d’inondations torrentielles, la dernière datée du 30 avril 2022 dernier a fait 2 victimes, L’état de catastrophe naturelle a été annoncé depuis par le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu pour 4 départements de Guadeloupe.

La Guadeloupe face aux risques naturels

ouragan GuadeloupeLa Guadeloupe est constamment exposée à des risques naturels. Les volcans, les ouragans et les tremblements de terre sont autant de menaces pour l’environnement naturel de l’île. Pendant la saison des pluies, de juillet à novembre, les cyclones et les ouragans sont les plus violents. Le réchauffement climatique est souvent pointé du doigt lorsqu’un ouragan passe sur l’île. Les tempêtes tropicales sont courantes, mais au-delà de vents de plus de 117 km/h, on parle d’ouragan. En fonction de leur puissance, les ouragans sont classés de 1 à 5, on parle par exemple d’ouragan de classe 3, qui correspond à des vents compris entre 178 et 209 km/h…  Depuis l’ouragan Wilma en 2005, sans conteste le plus violent de tous, la Guadeloupe a vu passer un autre ouragan dévastateur en 2017, l’ouragan Irma, qui a dévasté les zones côtières Atlantiques. La Guadeloupe n’a pas été la plus impactée, mais cet ouragan est resté gravé dans les mémoires de l’île. Le gouvernement a mis en place une page dédiée aux alertes ouragans afin que chaque habitant de l’île sache comment se préparer et comment réagir et agir face à ces risques cycloniques majeurs. Ce guide destiné à la population s’appelle ‘Saison cyclonique et vigilances météo’.

 

Nos conclusions sur la fragilité de la Guadeloupe

L’île tropicale de la Guadeloupe est un endroit magnifique où vivre, mais la vie y est accompagnée de défis environnementaux. Les ressources naturelles ne sont pas infinies et doivent être préservées. Le gouvernement prend des mesures pour résoudre ces problèmes. Il a adopté des lois pour protéger l’environnement et s’efforce de sensibiliser le public à l’impact de ses actions sur l’environnement. Il reste encore beaucoup de travail à faire. La pénurie d’eau et les catastrophes naturelles sont une partie de l’équation à prendre en considération, et tout le monde doit travailler de concert pour une préservation de l’île. Le Groupe Jacques Gaddarkhan a depuis longtemps mis en place des mesures pour diminuer son empreinte carbone et œuvrer au quotidien à la préservation de l’île et de ses ressources naturelles. Dans toutes ses activités, le GJG met en avant le développement durable et exprime son désir fort d’orientation environnementale. Cette conscience environnementale et les défis auxquels la Guadeloupe doit faire face est inscrite dans l’ADN du Groupe.

Groupe Jacques Gaddarkhan

GJG est issu du métier du BTP. Fondé il y a 25 ans et basé en Guadeloupe, le groupe possède aujourd’hui différentes sociétés qui ont toutes pour ADN commun cette brique de bâtisseurs dont la volonté est de préserver les emplois du groupe tout en favorisant le développement durable à travers des pratiques qui s’inscrivent dans la durée. Mr Jacques Gaddarkhan, le président fondateur de GJG, souhaite garder une homogénéité au sein de son groupe et ne cache pas sa vision de vouloir bâtir l’avenir des plus jeunes tout en protégeant les aînés.

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