Guadeloupe, une demande de logements en constante hausse
PÔLE IMMOBILIER GJG


Immobilier en Guadeloupe - Les chiffres
D’après un rapport de l’INSEE daté de 2017 et exposant une situation au 1er Janvier 2016, le taux de 20% de logements sociaux, et de 25% dans certaines communes, fixé par l’article 55 de la loi 2000-1208 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, présenterait des disparités gigantesques d’une commune à une autre. Pour exemple, les plus de 51% de logements sociaux au Cap Excellence, contre seulement 6% et 10% respectivement à la Riviera du Levant et au Nord Grande Terre. En additionnant les logements sociaux dans les régions qui ne respectent pas cette règle des 20%, le déficit cumulé serait de 8.200 logements sociaux manquants. L’étude rajoute que la création de 1.880 nouveaux logements sociaux annuels, pendant 10 ans, seraient nécessaires pour équilibrer ce manque.
Il est important d’associer la dynamique démographique à cette demande croissante, car quoique la Guadeloupe présente un taux de naissances soutenu, le déficit migratoire vient contrebalancer cette dynamique pour finalement montrer, depuis 2006, une augmentation très limitée d’à peine 0,1% annuel de la population. L’augmentation de la demande de logements est exclusivement liée au desserrement des ménages qui en 30 ans sont passés de 3,8 personnes à 2,3 personnes en moyenne.

Les enjeux de la rénovation urbaine en Guadeloupe
Le pari de cette rénovation ne s’arrête pas là et intègre une dimension de mixité sociale qui à terme permettra aux personnes âgées, aux ménages modestes ainsi qu’aux étudiants de réinventer des vies de quartier dans des constructions neuves où les aménagements extérieurs auront autant d’importance que la qualité des logements locatifs. Ainsi, la rénovation des logements, et lorsque trop vétustes leur reconstruction, va de pair avec l’aménagement d’espaces publics ainsi que la construction de surfaces commerciales pour permettre à ces quartiers défavorisés de regagner de l’attractivité aux yeux des populations.
GJG et l’immobilier en Guadeloupe
L’activité immobilière du Groupe Jacques Gaddarkhan se répartit en deux secteurs. D’un côté la promotion immobilière, qui correspond à la demande des particuliers et représente 20% de l’activité, et pour les 80% restant, la construction de bureaux et leur mise à disposition aux organismes publics par le biais de bail. Ce sont le conseil régional et le conseil départemental qui sont à l’origine des demandes publiques.
Les programmes ainsi construits font l’objet de vente en VEFA (Vente en l’Etat Futur Achèvement), ou de programme de location.
De nombreux primo accédant à la propriété font le choix de la VEFA. Cette formule gagnante, qui consiste à acheter sur plan ou en cours d’achèvement un bien immobilier, garantie aux futurs propriétaires d’acheter un logement neuf respectant les normes en vigueur, tout en permettant, la plupart du temps de pouvoir personnaliser son logement. Déplacer une cloison, supprimer une chambre pour agrandir un salon ou encore choisir une douche plutôt qu’une baignoire sont, en fonction des conditions particulières des programmes de construction, autant de possibilités à travers la VEFA. Au-delà de ces considérations matérielles, le paiement est également sécurisé à travers un paiement échelonné en fonction de l’avancement des travaux.
Les programmes immobiliers proposés par GJG respectent toutes les normes de sécurité ainsi que les normes HQE (Hautes Qualité Environnementales) en vigueur.